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Le ministre des Finances mexicain Jose Antonio Meade a indiqué hier que les fondamentaux de l’économie du pays justifient à eux seuls une poursuite du mouvement d’appréciation de la devise locale. Le peso s’est redressé de 14% face au dollar depuis son plus bas historique atteint mi-janvier pour retrouver ses niveaux d’avant l’élection de Donald Trump à la Maison blanche début novembre.
Le ministre des Finances mexicain Jose Antonio Meade a indiqué cette nuit que les fondamentaux de l’économie du pays justifient à eux seuls une poursuite du mouvement d’appréciation de la devise locale. Le peso s’est redressé de 14% face au dollar depuis son plus bas historique atteint mi-janvier pour retrouver ses niveaux d’avant l’élection de Donald Trump à la Maison blanche début novembre. «Le taux de change du début d’année ne reflétait pas les fondamentaux du pays. Ce n’est plus le cas maintenant. Nous ne nous fixons pas d’objectif spécifique, mais il y a encore de la place pour une appréciation supplémentaire du peso», a expliqué Jose Antonio Meade.
Le Maroc prévoit d’entamer en juin le processus de libéralisation du dirham, a annoncé hier le gouverneur de la banque centrale, avançant ainsi le calendrier pour un pan essentiel du programme de réformes économiques conclu avec les créanciers internationaux du pays. Répondant aux questions de Reuters, Abdellatif Jouahri a précisé que le processus serait progressif et qu’il pourrait falloir attendre jusqu'à 15 ans pour atteindre une flexibilité totale du dirham. Le taux de change du dirham est actuellement fonction d’un panier de devises pondéré à 60% en euro et à 40% en dollar. Mardi, un dollar permettait d’acheter 10,03 dirhams.
Le Maroc prévoit d’entamer en juin le processus de libéralisation du dirham, a annoncé le gouverneur de la banque centrale mardi, avançant ainsi le calendrier pour un pan essentiel du programme de réformes économiques conclu avec les créanciers internationaux du pays. Répondant aux questions de Reuters, Abdellatif Jouahri a précisé que le processus serait progressif et qu’il pourrait falloir attendre jusqu'à 15 ans pour atteindre une flexibilité totale du dirham.
La livre sterling s’est redressée mardi face à l’euro et au dollar, après que Theresa May a annoncé la tenue d'élections anticipées au Royaume-Uni le 8 juin. En fin d’après-midi, la livre, qui avait brusquement chuté dans la matinée lorsque Downing Street avait annoncé que la Première ministre britannique effectuerait une déclaration inattendue, gagnait 1,02% face à la monnaie unique, à 1,1926 euro, au plus haut depuis décembre et 1,55% face au billet vert, à 1,2761 dollar, au plus haut depuis octobre dernier.
Le président américain a écarté l'idée de désigner la Chine comme manipulateur de change. La devise chinoise reste sous la menace d’une taxe douanière des Etats-Unis.
Les Etats-Unis estiment qu’aucun de leurs grands partenaires commerciaux ne manipule sa devise, selon un rapport très attendu publié vendredi par le Trésor américain, contrairement à la promesse de campagne de Donald Trump de placer la Chine sur la liste des pays manipulateurs. Le rapport semestriel du département du Trésor maintient toutefois la Chine dans la liste des pays «surveillés», avec le Japon, la Corée du Sud, Taïwan, l’Allemagne et la Suisse. Le Trésor américain demande ainsi au Japon de ne pas reprendre ses interventions sur les marchés des changes. «Cela doit être réservé à des circonstances très exceptionnelles et doit faire l’objet de consultations préalables, conformément aux engagement du Japon au G7 et au G20», indique le rapport.
La banque centrale malaisienne a indiqué hier que les investisseurs seront autorisés à partir du 2 mai prochain à couvrir entièrement leurs positions sur le marché des changes, alors que ces opérations étaient jusqu’à présent limitées à hauteur de 25%. «Les entités non bancaires enregistrées seront autorisées à couvrir jusqu’à 100% de leurs actifs sous-jacents et pourront même gérer 25% supplémentaires de leur exposition de change», a ainsi expliqué son gouverneur adjoint Adnan Zaylani Mohamad Zahid. Cette décision vise à accroître la profondeur du marché local et réduire sa volatilité, en offrant davantage de liquidités et en favorisant la participation des investisseurs étrangers. Le ringgit ne s’est repris que de 1,8% face au dollar depuis son point bas historique atteint début janvier, contre une hausse moyenne des devises émergentes de 4,2%.
La banque centrale malaisienne a indiqué aujourd’hui que les investisseurs seront autorisés à partir du 2 mai prochain à couvrir entièrement leurs positions sur le marché des changes, alors que les opérations de couverture étaient jusqu’à présent limitées à hauteur de 25%, selon les propos de son gouverneur adjoint Adnan Zaylani Mohamad Zahid. «Les entités non bancaires enregistrées seront autorisées à couvrir jusqu’à 100% de leurs actifs sous-jacents et pourront même gérer 25% supplémentaires de leur exposition de change», a ainsi expliqué Adnan Zaylani Mohamad Zahid.
Les réserves de changes de la Banque nationale suisse se sont élevées 683 milliards de francs (638 milliards d’euros) fin mars, en augmentation de 15 milliards sur un mois, d’après les chiffres publiés vendredi par la banque centrale. Les réserves de changes ont ainsi grimpé de près de 40 milliards au premier trimestre, contre une croissance de 15 milliards au dernier trimestre 2016. La BNS continue ainsi d’intervenir pour contenir l’appréciation du franc, qu’elle considère surévalué depuis l’abandon du taux plancher de 1,20 franc pour un euro en janvier 2015.
Les réserves de changes de la Banque nationale suisse se sont élevées 683 milliards de francs suisses (638 milliards d’euros) à la fin mars, en augmentation de 15 milliards sur un mois, d’après les données publiées vendredi par la banque centrale. Les réserves de changes suisses ont ainsi grimpé de près de 40 milliards au premier trimestre, contre une croissance de 15 milliards au dernier trimestre 2016.