Nos articles d’actualité et d’analyse portant sur le marché des changes ou forex, sur l'évolution des principales devises (dollar, euro, yen, sterling, yuan, etc.) et sur les devises émergentes.
Le gouvernement iranien a décidé d’imposer un taux de change fixe pour le rial face au dollar pour enrayer la chute de la monnaie nationale, victime d’une forte spéculation sur le marché libre, rapporte l’agence de presse officielle Irna. En six mois, le rial a perdu plus de 30% de sa valeur face au billet vert sur fond de craintes pour l'économie de la République islamique au cas où les États-Unis se retireraient de l’accord international sur le nucléaire iranien comme menace Washington de le faire en mai.
La PBoC a fixé hier le cours pivot du yuan contre dollar à son plus haut niveau depuis août 2015, ce qui porte sa hausse à plus de 10% depuis fin 2016.
Le président vénézuélien Nicolás Maduro a annoncé son intention d'ôter trois zéros aux billets et pièces actuellement en circulation, ainsi qu’aux montants des émissions des obligations d’Etat. Ce processus débutera dès aujourd’hui et devrait être achevé le 4 juin prochain, la devise abandonnant son statut de «bolivar fort» au profit de «bolivar souverain», selon Nicolás Maduro. En 10 ans, le bolivar aura donc perdu six zéros, puisqu’en 2008 sous la présidence d’Hugo Chavez, le gouvernement avait lancé le «bolivar fort», ôtant trois zéros à l’ancienne devise vénézuélienne. Or, elle s’est très fortement dépréciée depuis début février avec le retour des adjudications de changes menées par la banque centrale, alors que le FMI estime que l’inflation devrait atteindre un niveau vertigineux de 13.000% d’ici la fin de l’année, avec un PIB qui devrait se contracter de 15% sur 2018.
Le président vénézuélien Nicolás Maduro a annoncé son intention d'ôter trois zéros aux billets et pièces actuellement en circulation, ainsi qu’aux montants des émissions des obligations d’Etat. Ce processus débutera dès lundi et devrait être achevé le 4 juin prochain, la devise abandonnant son statut de «bolivar fort» au profit de «bolivar souverain», selon Nicolás Maduro. En 10 ans, le bolivar aura donc perdu six zéros, puisqu’en 2008 sous la présidence d’Hugo Chavez, le gouvernement avait lancé le «bolivar fort», ôtant trois zéros à l’ancienne devise vénézuélienne. Or, elle s’est très fortement dépréciée depuis début février avec le retour des adjudications de changes menées par la banque centrale, alors que le FMI estime que l’inflation devrait atteindre un niveau vertigineux de 13.000% d’ici la fin de l’année, avec un PIB qui devrait se contracter de 15% sur 2018.
Thomson Reuters a annoncé hier le lancement d’un indicateur de sentiment de marché sur le bitcoin en association avec le cabinet d'études spécialisé sur l'économie comportementale MarketPsych Data. Cet indicateur sera calculé sur la base d’une surveillance de 400 sites internet et comptes dédiés aux cryptomonnaies sur les réseaux sociaux, a précisé Thomson Reuters dans un communiqué.
Thomson Reuters a annoncé aujourd’hui le lancement d’un indicateur de sentiment de marché sur le bitcoin en association avec le cabinet d'études spécialisé sur l'économie comportementale MarketPsych Data. Cet indicateur sera calculé sur la base d’une surveillance de 400 sites internet et comptes dédiés aux cryptomonnaies sur les réseaux sociaux, a précisé Thomson Reuters dans un communiqué.
La devise nipponne s'est appréciée non seulement face au dollar, mais aussi face à toutes les autres devises, depuis le début des tensions sur les marchés.
La Banque nationale suisse (BNS) et la Banque de Corée vont conclure un accord de swap bilatéral de changes, a indiqué vendredi l’autorité helvétique. Cet accord sera officiellement signé le 20 février à Zurich par Thomas Jordan, président de la Direction générale de la BNS, et Juyeol Lee, gouverneur de la Banque de Corée. Il permettra l’achat et le rachat de wons coréens et de francs suisses entre les deux banques centrales pour un montant maximal de 11.200 milliards de wons, soit 10 milliards de francs. «La Banque de Corée et la Banque nationale entretiennent un dialogue constructif depuis de nombreuses années. Cet accord bilatéral permettra de renforcer la collaboration entre les deux institutions», explique ainsi la BNS.
La Banque nationale suisse (BNS) et la Banque de Corée vont conclure un accord de swap bilatéral de changes, a indiqué ce matin l’autorité suisse dans un communiqué. Cet accord sera officiellement signé le 20 février prochain à Zurich par Thomas Jordan, président de la Direction générale de la BNS, et Juyeol Lee, gouverneur de la Banque de Corée. Il permettra l’achat et le rachat de wons coréens et de francs suisses entre les deux banques centrales pour un montant maximal de 11,2 billions de wons, soit 10 milliards de francs. «La Banque de Corée et la Banque nationale entretiennent un dialogue constructif depuis de nombreuses années. Cet accord bilatéral permettra de renforcer la collaboration entre les deux institutions», explique ainsi la BNS.
La Banque centrale européenne (BCE) est de plus en plus confiante dans la remontée de l’inflation dans le sillage de la forte croissance économique mais la volatilité des taux de change représente un obstacle potentiel, a déclaré hier son président, Mario Draghi. La BCE entend ainsi surveiller de près le taux de change de l’euro et ses effets, a-t-il dit devant le Parlement européen à Strasbourg lors de la présentation du rapport annuel de la banque centrale. Le dirigeant durcit ainsi le message de la dernière réunion de politique monétaire, le 25 janvier, en rajoutant l’expression «de près» pour qualifier le degré de surveillance requis. «La zone euro connaît une expansion robuste, avec des taux de croissance plus forts que ce qui était prévu et nettement au-dessus du potentiel», a déclaré Mario Draghi. Il a néanmoins répété que la BCE serait patiente et cohérente avec sa politique de laisser les pressions inflationnistes sous-jacentes augmenter.
Sa parité contre euro est retombée sous 1,16, et le franc a aussi atteint un plus haut depuis 2016 contre le yen, considéré comme l’autre grande devise refuge.