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La banque centrale norvégienne a baissé une nouvelle fois, vendredi, son taux directeur en urgence à un plus bas record de 0,25% (-0,75 points de base-pb) afin de tenter de contrer l’impact économique du coronavirus. Il s’agit de sa deuxième baisse en une semaine après celle de 0,5% vendredi 13 mars. Le pays est doublement touché par la crise du coronavirus et par la chute spectaculaire des prix du pétrole après la décision de l’Arabie saoudite d’augmenter sa production de brut en représailles à la Russie.
La Banque centrale de Russie (CBR) a annoncé vendredi des mesures destinées à soutenir les entreprises, les consommateurs et le secteur financier face à l'épidémie de coronavirus, mais a préalablement choisi de maintenir inchangé son taux de repo à 7 jours, à 6,00%, interrompant son cycle d’assouplissement monétaire pour contrer une chute du rouble et s’adapter aux risques économiques accrus liés à la baisse des prix du pétrole et au coronavirus. Cette décision intervient après six baisses consécutives.
La banque centrale norvégienne a baissé une nouvelle fois son taux directeur en urgence à un plus bas record de 0,25% (-0,75 points de base-pb) afin de tenter de contrer l’impact économique du coronavirus. Il s’agit de sa deuxième baisse en une semaine après celle de 0,5% vendredi 13 mars. Le gouverneur de la Norges Bank, Oeystein Olsen, a justifié ce nouveau geste par un état d’urgence pour l'économie norvégienne. Le pays est doublement touché par la crise du coronavirus et par la chute spectaculaire des prix du pétrole après la décision de l’Arabie saoudite d’augmenter sa production de brut en représailles à la Russie.
La Banque du Japon (BoJ) a injecté mardi 30,3 milliards de dollars sur les marchés dans le cadre d’une opération de financement à 84 jours en dollars, sa première après que la Réserve fédérale américaine a proposé dimanche un swap à 3 mois à un meilleur prix pour atténuer les contraintes de financement en dollars des autres grandes banques centrales face à la crise du coronavirus.
Swap en force. Avant même la propagation du trop fameux virus, 62% des PME françaises interrogées à l’automne dernier dans le cadre du baromètre Western Union Business Solutions consacré au risque
Le billet vert a effacé ses gains de début d’année dans l’anticipation d’une intervention de la Fed. Sa stabilisation après la baisse des taux américains n’est que temporaire.
La devise malaisienne a chuté à un plus bas de six mois après la démission du Premier ministre. La visibilité économique est déjà entachée par le coronavirus.
Après avoir chuté vendredi à 6,05 face au dollar, la livre turque a rebondi lundi matin, d’abord au-dessous puis autour de 6 face au dollar, effaçant une partie de ses pertes de vendredi après que le régulateur bancaire a annoncé de nouvelles limites sur les transactions de change. Les investisseurs et les traders ont estimé que cette reprise brutale de la monnaie, après des semaines de baisse, laisse penser que les banques d'État turques sont à nouveau intervenues pour amortir la chute de la livre, après avoir déjà vendu des dizaines de milliards de dollars au cours de l’année passée.