La holding de la famille Perrodo reprend la société spécialisée dans la vente en ligne de croisières, dans le cadre d’un LBO la valorisant autour de 90 millions d’euros. Frappée par la crise du Covid, Cruiseline était détenue depuis fin 2020 par Tikehau Capital, qui avait alors converti sa créance en capital.
Succédant à Claire Chabrier pour un mandat de deux ans à la tête de l’association professionnelle, l’actuel président de Siparex se fixe une feuille de route ambitieuse. Parmi les objectifs avancés, une hausse de 50% du nombre d’entreprises accompagnées par le private equity d’ici cinq ans.
L'augmentation des taux d'intérêt et la dégradation de l'environnement macroéconomique ont entraîné un allongement des processus de due diligence et une hausse des opérations de carve-out.
La société de private equity, qui avait investi dans le fournisseur de solutions digitales en 2010 et 2014, prend le relais de LBO France, qui en avait le contrôle depuis 2019. Andera se réengage via son activité de financement mezzanine.
La société de private equity américaine est parvenue à boucler en seulement sept mois un fonds LBO de 16,5 milliards de dollars, supérieur à l’objectif initial.
Comme annoncé en début de semaine par L'Agefi, cette nouvelle phase du dispositif mobilise 7 milliards d’euros de fonds privés. Tous les investisseurs se sont réengagés. Selon nos informations, CNP Assurances aurait accru son engagement à un milliard d’euros.
Dans un climat tendu de collecte de fonds et après avoir accusé une perte d’environ 77 millions de dollars sur Silicon Valley Bank et Signature Bank, l’investisseur institutionnel prévoit de consacrer jusqu'à 5 milliards de dollars au capital risque.
Les trois quarts d’entre eux estiment que l’intelligence artificielle peut permettre d’optimiser l’origination des transactions, selon le dernier baromètre Coller Capital dévoilé ce jour. Près de 65% y voit également un intérêt dans l’évaluation des dossiers.
Si le flux de dossiers d'entreprises en restructuration s’étoffe, l’offre de fonds spécialisés sur cette thématique reste limitée. En cause, la difficulté à lever des capitaux, la forte sélectivité des gérants et l’inadéquation entre les actifs à reprendre et les cibles recherchées.