La Caisse Nationale du Barreau Français (CNBF) a sélectionné les conseils suivants dans le cadre de l’appel d’offres publié le 17 octobre dernier : Neuflize OBC Investissements (ex AAAdvisors, groupe ABN AMRO) en tant que conseil financier pour les placements des réserves de la CNBF Forward Finance en tant que conseil pour le contrôle de la régularité formelle des prestations et décisions en matière de placement (contrôle de conformité). Pour Neuflize OBC Investissements, il s’agit d’un renouvellement de mandat. « Le dossier était très bien noté, notamment parce que Neuflize OBC Investissements met à notre disposition une structure étoffée » indique Gilles Not, président de la CNBF. En revanche, Forward Finance remporte un nouveau contrat avec la CNBF, qui ne disposait pas de contrôleur de conformité auparavant. « Cela rentre dans notre démarche de renforcement des contrôles internes et externes, qui porteront notamment sur la sélection des prestataires et le respect des rétrocessions » confirme Gilles Not.
Les participations à des entreprises impliquent des droits et des obligations. L’exercice des droits de vote dans les assemblées générales est actuellement considéré un peu partout comme une «best practice». Cependant, tous les investisseurs n’exercent par leur droit de vote. Les fondations d’utilité publique, notamment, redoutent souvent la charge administrative et intrinsèque qui en découle. SwissFoundations, l’association des fondations d’utilité publique, et Ethos ont développé une solution sur mesure pour les fondations dont la part de fortune en actions suisses est inférieure à 10 millions de francs. Les décisions du secteur financier exercent une influence significative sur notre avenir économique, social et environnemental. Les investisseurs institutionnels, en particulier les caisses de pension et fondations d’utilité publique, gèrent souvent des avoirs considérables. Pour bien fonctionner, notre système économique a besoin de propriétaires actifs qui ne se contentent pas de suivre de manière automatique les propositions du conseil d’administration, mais qui respectent les principes de gouvernance - également en ce qui concerne les affaires environnementales et sociales. Cette préoccupation est déjà prise compte par un grand nombre de fondations d’utilité publique dans le cadre de la composition de leur portefeuille d’actions. Le rapport 2012 sur les fondations en Suisse estime la fortune de toutes les fondations suisses d’utilité publique à plus de 80 milliards de francs. Les petits investisseurs semblent souvent rechigner à exercer leurs droits de vote, en raison des obstacles administratifs et techniques liés à cet exercice. SwissFoundations, l’association des fondations donatrices suisses et Ethos, Fondation suisse pour un développement durable, ont donc développé une solution d’association pour les membres de SwissFoundations. Cette solution permet aux fondations SwissFoundations dont la part de fortune en actions suisses est inférieure à 10 millions de francs de faire exercer leurs droits de vote par Ethos. La prestation comprend, en plus de l’exercice des droits de vote, un rapport trimestriel concernant les résultats de vote des 100 plus grandes sociétés cotées en Suisse avec des évaluations statistiques et des informations de fond. SwissFoundations soutient cette solution en proposant de l’aide administrative pour réunir et remplir les documents de vote. La solution d’association constitue pour les deux partenaires une solution attrayante. En mettant leurs efforts en commun, SwissFoundations et Ethos souhaitent réduire les obstacles freinant l’exercice conscient des droits de vote et favoriser la percée d’un actionnariat actif, également dans le secteur des fondations d’utilité publique. SwissFoundations, association des fondations donatrices suisses Créée en 2001 par onze fondations d’utilité publique, SwissFoundations est une association réunissant les fondations donatrices suisses d’utilité publique, qui donne à ce secteur une voix forte et indépendante. En tant que réseau actif et innovant, SwissFoundations soutient et encourage le partage d’expériences, la transparence et le professionnalisme au sein des fondations suisses. Avec un volume de subsides accordés par les membres s'élevant à près de 300 millions de francs, l’association représente
Selon nos informations, le GIE Agirc-Arrco a eu recours à un courtier de transition au dernier trimestre 2012 afin de gérer à moindre coût une partie des décaissements en cours et à venir pour le financement des retraites. Sur les 8 milliards d’euros de remontées de réserves réalisées en deux temps, en avril et en octobre 2012, 400 millions d’euros ont été désinvestis par l’intermédiaire de Russell Investments, le coutier retenu pour assurer cette mission auprès des gérants. Une première expérience de courtage de transition jugée « plutôt positivement » et qui aurait permis de « réaliser un petit gain, dont l’analyse est en cours », d’après des sources internes. La prochaine échéance de remontée de réserves Agirc-Arrco est planifiée pour la mi-2013 et portera sur un montant de 2 milliards d’euros.
Effisoft, éditeur de solutions à destination des professionnels de l’assurance et de la réassurance, répond avec succès aux besoins d’Aréas, groupe indépendant de sociétés d’assurance mutuelles. En 2011, Aréas a souhaité moderniser son système d’information et notamment la production du dossier annuel destiné à l’Autorité de Contrôle Prudentiel (ACP) qui se faisait jusque-là manuellement. Outre les états ACP (norme Solvabilité I), Aréas a également pour objectif la réalisation des états QRT, conformément à la nouvelle norme européenne Solvabilité II. Le choix de l’assureur s’est rapidement arrêté sur la solution Assuretat qui compte de nombreuses références sur le marché français et peut être mise en ??uvre dans des délais très courts. Ces critères ont naturellement amené Arnaud CHATELLIER, Directeur Comptable d’Aréas, à solliciter Effisoft.
Après le renoncement de l’appel d’offres consistant à sélectionner un prestataire de gestion unique pour gérer la totalité des encours, soit 1,5 milliards d’euros, la Mutuelle Générale s’est lancée à la recherche d’une société de conseil pour l’assister dans la définition de son allocation d’actifs ainsi que sur toute la partie de l’opérationnel, comme nous vous l’annoncions le 25 septembre 2012. Après le dépôt de plusieurs dossiers, la Mutuelle Générale a finalement sélectionné le consultant Insti 7.
La Caisse d’Allocation Vieillesse des Agents Généraux (CAVAMAC) a sélectionné Actuaris, suite à l’appel d’offres lancé le 8 octobre 2012 portant sur une prestation de conseil et de définition des futures allocations stratégiques des régimes de retraite complémentaire et d’invalidité décès. La durée du marché est de 5 mois à compter de la notification du marché.
La Caisse Nationale d’Assurance Vieillesse des Professions Libérales (CNAVPL) a missionné Insti 7 pour une mission de collecte d’informations auprès des caisses libérales sous son contrôle afin de faire un état des lieux des besoins et problèmes des caisses pour les remonter auprès de l’Inspection Générale des Affaires Sociales (IGAS).
A compter du 15 janvier 2013, les clients Linxea détenteurs d’un contrat d’assurance vie pourront bénéficier d’un service gratuit de « gestion conseillée » pris en charge par le cabinet de conseil en investissement Morningstar. Ce partenariat remplace celui noué depuis 6 ans avec la Financière Roche Noire (FRN) et qui a pris fin le 31 décembre 2012. Selon Linxea, « les éléments économiques qui ont fait le succès de la méthode FRN, basée uniquement sur des critères quantitatifs sont mis à mal aujourd’hui face à un marché incertain dont la volatilité a été fortement réduite ». Baptisé Linxea Profiler, ce nouveau service permet au client, qui a répondu au préalable à un questionnaire pour identifier son aversion au risque, de composer lui-même son portefeuille selon une sélection d’actifs financiers (actions, obligations) en suivant les conseils de Morningstar. A la différence de la gestion pilotée, c’est le client qui garde la main sur la composition de son portefeuille. Celui-ci peut être modifié en fonction de l'évolution des marchés et tous les quinze jours, le client reçoit un reporting pour l’avertir de l'évolution de ses actifs.
L’outil de gestion actif-passif est amené à être intégré dans le système d’information du gestionnaire administratif du régime, à savoir la CDC; il devra donc répondre aux caractéristiques techniques et critères de sécurité exigés. L’outil de gestion actif-passif devra permettre de répondre aux besoins de l’ERAFP qui comprennent : le respect du cadre réglementaire spécifique à l’ERAFP, notamment le décret n°2004-569 du 18 juin 2004 et l’arrêté d’application du 26 novembre 2004, le décret n°2010-1742 du 30 décembre 2010, l’avis du CNC n°2005-06 du 21 juin 2005 ; la capacité à modéliser de manière déterministe et stochastique ; la modification et le contrôle des caractéristiques des titres du portefeuille de manière mensuelle ; la capacité de modéliser la politique financière de l’ERAFP (stratégies d’allocation, gestion des investissements et désinvestissements, règles d’extériorisation des plus-values) ; projection des paramètres du régime en ligne avec la politique de revalorisation de l’ERAFP ; projection du bilan et du compte de résultat ; modélisation des principaux indicateurs de pilotage, notamment les ratios de couverture économique et réglementaire ; faciliter le reporting auprès de la direction de l’ERAFP ; l’interfaçage de l’outil avec des applications en amont (données pour le passif, scénarios économiques, données de marché, etc.) ; possibilité, bien que le régime ne soit pas soumis à cette directive, de faire des calculs permettant de répondre aux exigences de Solvabilité II (paramétrage des chocs prévus par la formule standard, calculs de provisions Best Estimate , calcul de SCR et MCR selon la formule standard) Les équipes de l'éditeur ou un sous-traitant, le cas échéant, qui devra être clairement désigné dans l’offre (prestataire externe à l'éditeur mais travaillant sous sa responsabilité sur cette mission), devront implémenter pour l’ERAFP un modèle ALM respectant les spécificités règlementaires, techniques et comptables du régime. ce modèle pourra être soit développé intégralement, soit implémenté à partir d’un modèle existant ; ce modèle devra répondre aux besoins exprimés au paragraphe 1 ci-dessus Le présent marché est conclu pour une durée de cinq ans à compter de la signature du contrat, sauf résiliation anticipée dans les conditions prévues au cahier des charges. Pour lire l’avis complet : cliquez ici
Comme nous l’annoncions le 1er novembre 2012, la CAVAMAC a décidé de relancer une procédure d’appel d’offres public pour une mission d’assistance à la gestion financière de ses actifs, exercée jusqu'à présent par Amadeis. Selon nos informations, Morningstar Investment Consulting a été sélectionné pour une durée d’un an, le marché pouvant être reconduit tacitement par période successive de un an pour une durée maximale de reconduction de 2 ans. La durée totale du marché (périodes de reconduction comprises) ne pouvant excéder le 31 décembre 2015. D’après Christian Matécat, directeur comptable - finances de la CAVAMAC, la collaboration sera de 3 ans.
L’assureur mutualiste Groupama a cédé une fraction de sa participation dans la banque Société générale, a indiqué l’Autorité des marchés financiers dans un avis publié à l’occasion du franchissement à la baisse du seuil des 5% des droits de vote. Groupama ne détient plus que 2,84% du capital, ce qui lui confère encore 4,86% des droits de vote dans la banque rouge et noire française, après avoir vendu une fraction non précisée de sa participation sur le marché, a ajouté l’AMF. Il y a un an, le 31 décembre 2011, Groupama détenait encore 3,92% du capital et 6,66% des droits de vote de la banque, une participation qui en faisait le plus grand actionnaire institutionnel, devant la Caisse des dépôts et les assureurs Meiji Yasuda Life et CNP. Au cours actuel du titre, une participation de 1% dans Société générale vaut environ 220 millions d’euros. Les deux groupes sont alliés depuis juin 2001 lorsqu’ils avaient formé un partenariat qui avait débouché l’année suivante sur la création de Groupama Banque, dont la vocation est de proposer des solutions bancaires aux clients de l’assureur. A ce titre, le directeur général de Groupama, Thierry Martel, est administrateur de la banque. L’exposition importante de Groupama au marché des actions - comme sa participation dans Société générale, massacrée en Bourse en 2011 - explique pour une part les déboires récents de l’assureur, qui l’ont contraint à mettre en oeuvre ces derniers mois un plan de restructuration draconien.
Le fonds de pension UMR (10,2 milliards d’euros d’actifs sous gestion) cherche à augmenter son allocation en private equity, en direct sans l’aide des gestionnaires de fonds qui, selon l’institution, exigent traditionnellement des frais de gestion excessifs. Le Directeur Général, Charles Vaquier a déclaré à IPE que le fonds de pension est actuellement en négociations avec le Groupe DLJ dans la région de Nantes, où UMR est basé. UMR cherche à investir 10 millions d’euros dans le groupe DLJ, qui possède des hôtels et des cosmétiques, de la construction navale et les entreprises agricoles. Nous étudions actuellement les bilans du groupe et son potentiel de croissance au cours des prochaines années pour s’assurer si DLJ peut étendre ses activités et créer de nouveaux emplois, a ajouté Charles Vaquier. Philippe Rey, le Directeur des investissements de l’UMR, a poursuivi en affirmant que la caisse de retraite était dans le processus de structuration de l’opération de private equity avec l’aide d’une banque française, par l’intermédiaire des avocats de l’UMR. D’abord, cela nous permettra de percevoir un rendement garanti sur sept ans, et connu à l’avance, a-t-il dit. Deuxièmement, ça nous permettra d'éviter de payer tous les frais excessifs d’un gestionnaire traditionnel de fonds private equity, afin de monter les deals et trouver les sociétés dans lesquelles investir. Philippe Rey a ajouté que, une fois l’opération structurée avec l’aide de la banque, les avocats de l’UMR définiront la garantie que le Groupe DLJ sera tenue de déposer, dans le cas d’un défaut. La garantie sera principalement sous la forme d’actifs immobiliers détenus par le groupe, a-t-il ajouté. Nous allons ensuite, une fois par an, vérifier les flux de trésorerie du groupe pour s’assurer qu’il peut étendre ses activités. Selon Philippe Rey, la demande en provenance des entreprises locales est directement liée à l’absence de financement fourni par les prêteurs traditionnels comme les banques locales, qui sont actuellement confrontées aux problèmes de la réglementation Bâle 3.
Cette prestation poursuit comme principal objectif l’analyse et l’assistance en investissement sur des stratégies particulières d’investissement, soit au niveau d’une classe d’actif dans son ensemble (obligations, actions, immobilier, etc.), soit au niveau d’un segment particulier d’une classe d’actifs (secteur, zone géographique, etc.), soit en fonction d’un instrument d’investissement particulier. Elle pourra notamment s’appuyer pour cela sur : une opinion argumentée sur l’actualité macroéconomique et financière générale, en France, dans la zone euro, en Europe au sens large ou dans le monde, y compris les pays émergents Une opinion argumentée sur l'évolution des marchés financiers, tant en France que dans le monde, avec analyse rétrospective et prospective Il s’agit d’un marché à bons de commande sans montant minimum et avec montant maximum, passé en application de l’article 43 du Décret n.2005-1742 du 30 décembre 2005 relatif aux marchés à bons de commande, et conclu avec plusieurs titulaires (3 titulaires maximum, sous réserve d’un nombre suffisant d’offres). Le montant maximum de commandes pour la durée totale du marché (reconduction comprise) est de 129 900 euro(s) (H.T.). Le marché est conclu pour une période initiale de 2 ans à compter de la notification du marché, et pourra etre reconduit une fois pour une nouvelle période de 2 ans. Pour lire l’avis complet : cliquez ici
Au terme d’un appel d’offres lancé en septembre dernier, l’Association Nationale pour les Chèques Vacances (ANCV) vient de sélectionner la société Cedrus Partners pour l’assister dans une mission de conseil en investissements. Le consultant succèdera à Morningstar Consulting au 1er janvier 2013. L’ex Seeds Finance avait été sélectionné en septembre 2011 par l’ANCV pour l’assister dans l’audit de son portefeuille et sa stratégie d’investissement. Le contrat signé par l’ANCV avec Cedrus Partners porte sur une période de quatre ans maximum, avec une possibilité de résiliation chaque année. Morningstar Consulting continuera donc sa mission jusqu'à la fin de l’année, période à laquelle devrait être sélectionné les vainqueurs de l’appel d’offres restreint en cours pour la gestion dédiée de 4 FCP obligataires ISR et 1 FCP monétaire, selon le responsable Trésorerie et placement de l’ANCV, Alain Quinquennel. Qui annonce avoir reçu un grand nombre de dossiers alors que la date limite de remise des offres, fixée le 10 décembre, vient d’expirer.
A l’issue d’un appel d’offres restreint auprès de 4 candidats, le Fonds de Prévoyance UCB (80 millions d’euros d’encours) vient de sélectionner Aon Hewitt pour l’aider dans son étude d’ALM. La gérante du fonds de pension, Isabelle Feuillien déclare que la commission financière vient de recevoir les résultats de cette étude. Maintenant, la réflexion porte sur les changements au niveau de l’allocation d’actifs et du choix du benchmark. Mme Feuillen a confirmé également que la revue stratégique sera terminée à la fin du mois de janvier 2013. Pour rappel, l’allocation stratégique d’actifs est la suivante : 49% d’actions, 48% d’obligations, 1% d’immobilier et 2% de matières premières. Degroof Institutional Asset Management et KBC Asset Management sont les deux principaux gérants du Fonds de Prévoyance UCB au travers de mandats de gestion.
La présente consultation a pour objet la fourniture de données des marchés financiers pour permettre à la Caisse nationale du Régime Social des Indépendants de répondre à ses missions, de reporting - du suivi des marchés financiers et des placements des régimes - et d’exécution des investissements, auprès des instances décisionnelles. Dans le cadre de ses missions, le pôle Gestion Financière du RSI a besoin d’une base de données lui donnant l’accès le plus complet possible à des données économiques ou financières (cotation des produits financiers en particulier). La base de données devra présenter la gamme la plus large possible en terme de produits financiers traités et d’indicateurs économiques ou politiques suivis pouvant influer sur les marchés. Il devra également permettre de tracer des graphiques historiques des données traitées, donner des éléments d’analyse de cherté et d’exporter ces données sur tableur. Base de données économiques et financières : 3 postes Les prestations recouvrent également : le suivi et le support des logiciels (évolutions logicielles, maintenance corrective, hot line) ainsi que la maintenance des équipements éventuellement fournis par le Titulaire (serveur, ligne dédiée) s’ils sont nécessaires pour l’utilisation des logiciels. la formation des utilisateurs (de 3 à 6 personnes). Pour lire l’avis complet : cliquez ici
Selon nos informations, L’ERAFP a sélectionné Protiviti pour une mission de conseil auprès du responsable de la planification de l’audit interne et des risques opérationnels dans la mise en place de procédures opérationnelles centralisées et des outils de contrôle et de documentation afférents. Le montant du contrat est de 95 500 euros H.T
Le présent marché a pour objet l'évaluation actuarielle de la caisse des pensions des anciens députés, de la caisse de retraites du personnel de l’Assemblée nationale et des versements assimilés au sens de la recommandation du Conseil national de la comptabilité no 2003-r01. Montant total du marché : 54 000 EUR (HT). Nombre de candidatures reçues : 8 Prestataire retenu : Aon France Pour lire l’avis complet : cliquez ici
Le mandat de conseil d’Amadeis arrivant à échéance le 31/12/2012, la Cavamac a décidé de relancer une procédure d’appel d’offres public pour une mission d’assistance à la gestion financière de ses actifs. La Cavamac transfert ses locaux au cours de l’année 2013 et s’installera 30, rue Olivier Noyer à Paris 14ème arrondissement. Le présent marché entrera en vigueur le 1er janvier 2013. Il s’achèvera le 31 décembre 2013. Le marché pourra être reconduit tacitement par période successive de un an pour une durée maximale de reconduction de 2 ans. La durée totale du marché (périodes de reconduction comprises) ne saurait excéder le 31 décembre 2015. Pour lire l’avis complet : cliquez ici
Société Générale Securities Services (SGSS) a été mandaté par Swiss Life Asset Management pour fournir une large gamme de services titres pour 60 fonds qui représentent EUR 5,5 milliards d’actifs sous gestion. Selon les termes du mandat, SGSS offrira ainsi : des services d’administration de fonds et de prêt emprunt de titres pour des fonds français ; des services de domiciliation, de conservation, d’administration et de distribution de fonds, ainsi que de prêt emprunt de titres pour des fonds luxembourgeois. SGSS a été sélectionné par Swiss Life Asset Management pour son approche orientée client, sa couverture paneuropéenne et ses solutions flexibles, en particulier en ce qui concerne les structures maître-nourricier et les fonds immobiliers.
La présente consultation porte sur la reprise en gestion administrative et financière d’un régime de retraite supplémentaire pour le personnel de Paris Habitat-Oph. L’objet du pouvoir adjudicateur est de déterminer l’organisme assureur porteur du risque de retraite. Il n’est nullement recherché de prestation intégrant une mission conseil/apport. Pour lire l’avis complet : cliquez ici
Comme nous vous l’annoncions le 11/10/12 (voir brève en cliquant ici), la Caisse Nationale des Barreaux Français (CNBF) a décidé de remettre en jeu le mandat de conseil financier de AAAdvisors (groupe ABN AMRO) pour les placements des réserves et séparément (lot distinct non cumulatif) pour le contrôle de conformité. Lot numéro 1 : Services de conseil financier et de placements Conseil sur la gestion des placements financiers des réserves de la CNBF au titre des régimes obligatoires gérés, dans un contexte réglementaire très précis des articles R623-2 à R623-10-4 du code de la sécurité sociale, notamment sur les gérants de portefeuilles, teneurs de comptes et flux bancaires. Lot numéro 2 : Services de contrôle de conformité Contrôle de la régularité formelle et notamment juridique des prestations et décisions en matière de placement, de leur conformité, tant des organes décisionnaires que des gérants, teneur de compte, banques et conseil en placements financiers. Le candidat peut postuler seul ou en groupement, dans ce cas le groupement devra être conjoint avec mandataire et être constitué dès la remise de l’offre. Un candidat pourra être membre de plusieurs groupements. Toutefois un même opérateur économique ne peut pas être mandataire de plus d’un groupement pour un même marché. Pour lire l’avis complet : cliquez ici
La Caisse Nationale des Barreaux Français (CNBF) va remettre en jeu courant octobre le mandat de conseil financier. Jusqu'à présent, AAA Advisors conseillait la CNBF dans sa gestion en partenariat avec le conseil d’administration de la caisse de retraite. Tous les quatre ans, la CNBF prévoit de remettre à plat la totalité de sa gestion d’actifs, en dehors de l’immobilier, et met en concurrence ses différents prestataires. Son objectif serait de mettre en place les nouveaux mandats de gestion début novembre.
Selon nos informations, l’Agence Nationale pour les Chèques Vacances a pris du retard, et déterminera au cours du mois de novembre le lauréat de l’appel d’offres pour le mandat de conseil en investissements. Par la voix de son trésorier, Alain Quinquennel, l’ANCV regrette de ne pas avoir reçu davantage de dossiers de candidatures, tout en s’estimant « assez satisfaite » de leur qualité. Pour rappel, ce contrat portera sur une durée de quatre ans maximum, avec possibilité de résiliation chaque année. Le mandat d’un an de Morningstar Consulting, qui s’est porté candidat à sa succession, s’est achevé fin septembre.
Objet du marché : prestation de conseil et de définition des futures allocations stratégiques des régimes de retraite complémentaire et d’invalidité décès. Durée du marché ou délai d’exécution : 5 mois à compter de la notification du marché. Critères d’attribution : Offre économiquement la plus avantageuse appréciée en fonction des critères énoncés ci-dessous avec leur pondération. valeur technique de l’offre selon les sous critères critères suivants : 60 %; 1er sous critère les moyens consacrés à la réalisation du marchè : 40 %; 2eme sous critère note méthodologique : 20 %; prix des prestations : 40 %. Type de procédure : procédure adaptée. Renseignements complémentaires : les documents et renseignements à fournir par les candidats (dossier de candidature) en application des articles 43, 44 et 45 du CMP sont prévus au réglement de la consultation. L’accueil de la CAVAMAC est ouvert du lundi au jeudi de 9h à 12h45 puis de 13h45 à 18h et le vendredi de 9h à 12h45 puis de 13h45 à 17h. Conditions et mode de paiement pour obtenir les documents contractuels et additionnels : le dossier de consultation peut être demandé soit par courrier soit par courriel (cge@cavamac.fr). Conditions de remise des offres ou des candidatures : les dossiers de candidatures et d’offres doivent parvenir soit par courrier (lettre recommandée Ar) soit déposés au siège de la CAVAMAC contre récepissé. Nom et adresse officiels de l’organisme acheteur : CAVAMAC Caisse d’Allocation Vieillesse. Correspondant : Pierre Maxime DUMINIL, 104 Rue Jouffroy d’Abbans 75847 Paris Cedex 17. Pour lire l’avis complet : cliquez ici
Selon nos informations, l’Union des Caisses de France (UCF), qui avait lancé un appel d’offres auprès de consultants en investissement financier, a finalement sélectionné Forward Finance et Insti 7. Cet appel d’offres avait pour objectif de centraliser les fonctions de gestion financière au sein des différentes caisses de congés payés du bâtiment. Néanmoins, la sélection des deux consultants n’est pas contraignant pour les caisses qui restent souveraines dans leur propre choix du consultant. Cet appel d’offres est en fait une labellisation réseau pour les deux consultants. Pierre-Yves Tanguy, directeur général de l’UCF, nous avait fait part de sa volonté de mutualiser ce type de prestations qui pourraient être bénéfique à nos organismes, notamment dans un souci d'économie d'échelle.
Odette Cesari, directeur des investissements d’Axa France dans un article paru dans Option Finance numéro 1188: Les montants accordés dans le cadre du partenariat entre Axa et Société Générale seront compris entre 30 et 100 millions d’euros. Axa finance en moyenne 70 à 80% de la somme totale, la Société Générale conservant le reste. La maturité des prêts, quant à elle, s'étendra sur 3 à 7 ans, à l’image de la plupart des crédits bancaires. L’analogie avec ces derniers ne devrait d’ailleurs pas se limiter à la durée. En effet, la rémunération d’un tel placement privé est censée avoisiner celle d’un prêt classique pour une entreprise dont la qualité de crédit relève de la catégorie investissement (équivalent à une notation BBB- et plus). Le coupon correspondra au taux qui serait réclamé sur le marché obligataire à un émetteur présentant un profil similaire, auquel s’ajoute une prime d’illiquidité puisque nous conserverons la créance jusqu'à son échéance. Au final, le prix payé par la société sera proche de celui d’un financement bancaire tiré. En fonction du profil de l'émetteur, le rendement pourra ainsi atteindre entre 3,5% et 5,5%. Axa s’est fixé, pour le second semestre, un objectif d’investissement de 500 millions d’euros. Mais le montant global consacré par l’assureur au financement des groupes français pourrait être encore plus important car ce dernier va également lancer une offre similaire avec le Crédit Agricole . Celle-ci devrait voir le jour dans les prochaines semaines.
Pour rappel, le consultant rattaché au Service de la gestion technique et financière de l’ERAFP assistera le responsable de l’ALM et de l’actuariat dans la réalisation des missions suivantes: ??? la réalisation de tables d’expérience, ??? la réalisation de diverses études actuarielle sous SAS et notamment pour améliorer la connaissance de la population du régime ainsi que des projections sur les données de passif du régime, ??? la réalisation d'études en ALM, ??? la mise à jour des contrôles sur les données utilisées dans le calcul de PM sous SAS, ??? l’intégration des prestations individuelles dans le calcul des provisions mathématiques et la mise en place des contrôles associés. L’ERAFP a reçu 6 offres. Le lauréat est Actuaris Pour lire l’avis complet : cliquez ici
Le FRR lance une procédure d’appel d’offres restreint visant à sélectionner jusqu'à trois prestataires de services d’investissement pour la gestion de ses opérations de transition. Les missions du Gestionnaire de transition seront les suivantes : Gérer durant les périodes de transition un ou plusieurs portefeuilles qui lui seront confiés par le FRR. Exécuter et, éventuellement, recevoir et transmettre pour exécution durant les périodes de transition et dans les meilleures conditions de confidentialité les ordres à l’achat ou à la vente d’instruments financier émanant des Gestionnaires d’actifs du FRR. Les missions prises en charge viseront à reconfigurer les portefeuilles selon les souhaits exprimés par les gestionnaires d’actifs agissant pour le compte du FRR auxquels ces portefeuilles seront ensuite transférés et réduire l’ensemble des coûts qui sont traditionnellement observés lors de telles opérations. Le FRR a sélectionné pour ces mêmes missions en Mars 2010 les sociétés Goldman Sachs International et Russell Implementation Services Limited. Ce marché arrivant à échéance en Mars 2013, il est aujourd’hui nécessaire de relancer un nouveau processus de sélection. A titre purement indicatif, le FRR estime que le montant des fonds pouvant donner lieu à une transition pourrait varier dans une fourchette comprise entre cent millions d’euros et deux milliards d’euros. Nombre minimal envisagé de candidats : 5 et nombre maximal : 8 Pour lire l’avis complet : cliquez ici