Nos articles d'actualité et d'analyse portant sur l'évolution des marchés des principaux métaux précieux (or, argent, platine etc.) et sur les grandes entreprises actives dans le domaine.
De formation juridique, Bruno a rejoint L’Agefi au début du siècle, du temps du quotidien papier avant sa rapide mutation dans le monde du numérique. Il suit plus particulièrement les sujets de gouvernance, d’assemblée générale, de régulation des entreprises, de droit boursier, et s’intéresse également à la vie financière des émetteurs non financiers et aux questions de concurrence. Pour ajouter une pointe de légèreté, il est friand d’actualités des têtes couronnées.
Aujourd’hui, seul le président de l’Autorité des marchés financiers dispose de la possibilité de former un recours incident lorsqu'une affaire est portée en cassation. La cour suprême propose une réforme autorisant les personnes incriminées par l'AMF de le faire aussi. Cela permettrait d’assurer l’égalité des armes entre les parties.
La première mission du prochain gouvernement et de la nouvelle assemblée nationale sera de rassurer rapidement le marché. Sinon, l’attractivité de la France risque de fortement reculer.
Bien réalisée, l'évaluation constitue un véritable outil pour améliorer la performance du conseil, et donc de l’entreprise. L’IFA dévoile un guide pratique à l’usage de toutes les sociétés.
Le C3D dévoile une enquête sur les premières avancées des grandes entreprises françaises. Ces dernières sont très largement positives sur les effets de cette nouvelle réglementation, même si les coûts sont importants pour les plus petites structures.
Si le Panel Allocation des gérants interrogés chaque mois par L'Agefi consacre toujours la moitié de son portefeuille aux actions, une tendance sous-jacente plus défensive se dessine.
Le Panel Actions de L'Agefi révise à la baisse ses perspectives à six mois et à un an pour le niveau de l'indice phare de la Bourse de Paris au second semestre. Le S&P, qui a déjà bondi de 15% au premier semestre, pourrait encore prendre 1%.
Le gendarme boursier reproche à Biosynex et à quatre de ses dirigeants d’avoir profité d’une information privilégiée lors de la cession du bloc d’auto-contrôle et d’avoir tardé à déclarer leurs opérations. Une autre information donnée à une journaliste aurait dû faire l’objet d’un communiqué de presse immédiat.